Les groupes de fleurs et les méridiens d’acupuncture

LES GROUPES DE FLEURS ET LES MERIDIENS D’ACUPUNCTURE

Qu’est ce que un méridien ?

Le concept de méridien vient des techniques de la médecine chinoise traditionnelle comme l’acupuncture et l’acupressure. La théorie des Ambas dit que l’énergie vitale du corps (氣 qi en chinois mandarin) circule à travers le corps par des canaux spécifiques appelés méridiens.

Les différents méridiens sont interconnectés. Cette médecine traditionnelle chinoise s’appuie sur la théorie du Yin et du Yang ainsi que sur les cinq éléments ou encore cinq mouvements.

En acupuncture traditionnelle, on distingue plusieurs types de méridiens. Les méridiens liés à un organe sont au nombre de 12 et correspondent aux 12 groupes de fleurs.

La médecine chinoise s’appuie sur les déséquilibres observés sur les méridiens et y répond via un large éventail de méthodes : acupuncture, acupressure, moxibustion, massage, amma, diététique, exercices énergétiques (qi gong, taiji quan, kung-fu…), pharmacopée … qui ont chacune, selon leurs promoteurs, une action précise sur les méridiens.

Quel rapport entre les fleurs de Bach et les Méridiens ?

La détermination des Groupes de Fleurs par rapport aux méridiens se fait en partie par leurs ressemblances évidentes. Les reins, dans la médecine chinoise, sont depuis toujours associés à la peur ; le méridien des reins ne peut ainsi que correspondre au groupe Mimulus. De même, le groupe Gentian appartient évidemment au méridien estomac qui, même dans notre culture, est considéré comme « l’organe de souci ».

Les rapports établis de cette façon seront par la suite confirmés par de nombreux tests spécifiques*.
Lors de ces tests, il s’est avéré que les groupes de fleurs agissent comme des verrous à code, le groupe représentant la bonne combinaison.

La nouvelle méthode de traitement par groupes entiers s’est avérée très efficace, sous réserve d’être pratiquée correctement.

*expliqués en détail dans « Neue Therapien mit Bachblueten 3 » de Dietmar Kraemer, Ansata Verlag.